Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Jonathan Tremblay

Âge : J’aurai 30 ans en octobre prochain

Catégorie: 30 – 34 ans

Club: Club Endurance du Fjord Saguenay

Occupation : Enseignant en biologie au Cégep de Chicoutimi

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? 5 ans

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Je faisais des compétitions en course à pied et en vélo séparément et je performais bien. En plus, j’aimais ça. J’ai donc décidé d’essayer de combiner les deux disciplines et ça s’est avéré être encore plus agréable.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Ce seront mes 4e championnats mondiaux.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Terminer au moins dans les 10 premiers de ma catégorie (comme l’an dernier) et si je pouvais faire un top 5, ce serait génial.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Vélo de route et de montagne, course à pied, hockey et ski de fond.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: J’aime autant les deux.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : L’été mes congés me permettent de faire entre 15 et 20 heures. En période de travail, c’est environ 10 heures.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? Gérer son effort (fournir le meilleur effort possible sur deux heures et un effort constant) et gérer les crampes aux mollets et aux cuisses qui peuvent vraiment incommoder. Les bas de compression m’ont vraiment aidé à ce niveau (crampes).

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? J’aime être en forme et paraitre en santé. J’aime aussi être en mesure de donner le maximum de moi-même et pouvoir me comparer avec d’autres compétiteurs.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Oui, je suis déjà inscrit. J’aimerais beaucoup participer chez les Élites, une année. Je pense que si j’améliore encore un peu ma course à pied, je pourrais en être capable.


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Sylvie Charest

Âge : 40

Catégorie: 40-44 ans

Club: Peak Performance de Montréal avec Mathieu Sauvé.

Occupation : secrétaire médicale

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon?

1997 donc plus de 15 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport?

Parce que j’adore la course à pied.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Ce sont mes troisièmes mondiaux en duathlon.  J’ai fait Concord USA, Edinburgh Écosse et ferai Nancy France en septembre 2012.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012?

J’aimerais finir top 5 mondial dans mon groupe d’âge.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon?

La course à pied et le cross-country au 3 km et 5 km.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports?

La course à pied j’ai comme un sentiment de liberté.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine?

6 et 9 heures d’entraînement par semaine.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon?

C’est la dernière portion de course à pied, car la fatigue musculaire est à son maximum.

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement?

Ma motivation de tous les jours est de bien faire mes devoirs et bien m’entraîner pour un jour, aller chercher une médaille d’or aux mondiaux de duathlon.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013?

Oui j’ai eu ma qualification en juillet dernier à Magog, donc je fais partie de l’équipe Canadienne de 2013 pour
Ottawa Canada.

Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : François Lefebvre

Âge : 45 ans (au 31 décembre 2012)

Catégorie: 45-49 ans

Club: Mathieu Sauvé/Centre Peak Performance et Dorys Langlois/club de course MAA

Occupation : Gestionnaire de projet – Finances

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon?

J’ai initialement découvert ce sport vers la fin des années 80, donc il y a 23 ans, alors que le triathlon et le duathlon prenaient leur essor au Québec. Après une longue pause, j’ai repris le duathlon de façon assidue en 2009, soit depuis 3 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport?

En 2009, c’était principalement pour retrouver la forme et pour me préparer à un retour au triathlon. J’ai un faible pour le duathlon, alors je continue à pratiquer cette discipline qui est, à mon avis plus difficile que le triathlon sur la plan physiologique. La sensation de repousser ses limites, pour ne pas dire la sensation de douleur, est à son comble lors du deuxième segment de course à pied.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon?

Les Championnats Mondiaux de Nancy seront ma deuxième expérience, la première étant celle des Mondiaux de Gijón en 2011.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012?

Et bien, cette année, j’aimerais d’abord et avant tout mettre le « focus » sur ce que je peux contrôler, soit exécuter mon plan de course à la perfection, afin de sortir le meilleur de moi-même. Je veux finir la course et savoir que je n’aurai rien laissé sur la table. Je ne connais pas les autres concurrents et je ne sais pas ce dont ils seront capables. Donc, pour ce qui est des résultats, c’est un peu difficile à prévoir. Un top 10? Un podium? Tout est possible! 

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon?

La liste est un peu longue… Étant jeune, je pratiquais de façon compétitive l’escrime et l’aviron, et de façon récréative, le vélo de randonnée et le ski de fond. Je me suis ensuite consacré pendant plusieurs années au Pentathlon militaire pendant que j’étais membre de l’équipe de l’Armée Canadienne. Le triathlon et le duathlon me servaient de “cross-training”. Je me suis aussi adonné à la course à pied sur route dans les dernières années. J’aime bien me tester sur différentes distances durant l’année, soit  le marathon, demi-marathon, 10 et 5 km.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports:

Le duathlon pour moi est un sport entier dans lequel on ne peut dissocier les épreuves. Elles sont soudées par des transitions qui font de cette discipline une expérience entière et unique. Je n’approche pas une portion de course à pied de duathlon de la même façon qu’une course sur route de 10 km. Il en va de même pour le vélo. C’est cette complexité que j’affectionne, et la joie de faire les deux ensembles. Mais ce qui est encore plus précieux, c’est le mode de vie que je dois adopter en dehors des courses pour m’y préparer. Un style de vie qui vaut tout l’or du monde!

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine :

Entre 6 et 20 heures par semaine, dépendant des cycles d’entraînement.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon?

Quand on le fait à fond, je crois que le plus difficile est le choc et la violence des transitions. Les jambes sont toujours sollicitées dans les trois segments de l’épreuve, mais de façon très différente. Ce n’est pas comme un triathlon, il faut le vivre pour comprendre et je vous mets au défi de l’essayer si ce n’est déjà fait!

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement?

J’ai plusieurs sources de motivation. La principale serait par souci de santé pour être là encore longtemps pour mes deux filles. Cela me motive aussi de les voir adopter des comportements semblables aux miens. Bien manger, aimer bouger, être actives, s’accomplir à travers leur sport. Lors de passage un peu plus difficile, je me remémore la chance que j’ai de pouvoir être en vie et surtout en santé contrairement à d’autres qui se battent contre la maladie ou ceux qui nous ont quitté. Vivre pleinement, parce qu’on le peut! La personne qui m’inspire le plus est sans contredit Pierre Lavoie et son message que je tente le plus possible d’appliquer.   

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013?

Oui je veux prendre part à ce grand rendez-vous. J’espère que notre contingent sera nombreux et de qualité afin que l’on soit bien représenté, ici chez nous!


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un « talon d’Achille » et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument « triathlonnienne ». Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Marie-Michèle Paré

Âge : 34

Catégorie: Groupe d’âge

Club: Aucun pour le moment, mais Mathieu Sauvé de Peak Centre Performance a été mon entraîneur l’an dernier.

Occupation : Médecin vétérinaire

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? Premier duathlon (Do-A-Du!) en juillet 2009, donc 3 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Mon conjoint pratiquait le duathlon et m’a incité à essayer.  Une seule course et j’avais la piqûre!

 

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon? Nancy sera ma deuxième participation aux championnats du monde.  Ma première a été à Gijon en Espagne en 2011. Une expérience mémorable!

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Améliorer ma position par rapport aux mondiaux de 2011.  J’espère un « top 10 » dans ma catégorie d’âge et terminer première canadienne.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Avant mon premier duathlon, je ne faisais pas de sports compétitifs, je pratiquais de façon récréative le vélo de route et faisait un peu de course à pied.  Je faisais et fais encore un peu de ski de fond.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: Le vélo!!  La course à pied… c’est difficile et ça fait mal! ;0)  J’adore le vélo.  En vélo, je m’amuse et peu importe l’entraînement, je suis toujours prête à faire du vélo.

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : Entre 8 et 12 heures, selon les périodes de l’année.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? La première course à pied est toujours le moment le plus difficile pour moi.  Une fois cette étape passée, je commence à m’amuser!  Physiquement, le plus difficile est la transition de la course au vélo…  les premiers kilomètres de vélo sont toujours douloureux du point de vue musculaire.

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? Le désir de toujours m’améliorer et de pouvoir dire que j’ai tout donné…  que ce soit pour un simple entraînement ou pour une course de grande importance.  La satisfaction est grande quand on dépasse ses propres limites.

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Je suis qualifiée pour les mondiaux de 2013… l’avenir dira si j’y serai ou non!


Cette année, les championnats du monde de duathlon auront lieu en terre française, à Nancy, les 22 et 23 septembre 2012.

Rappelons que le duathlon est sanctionné par l’Union internationale de Triathlon (ITU) et au Québec par Triathlon Québec. Il compte de nombreux adeptes au Québec et à travers le monde. Le duathlon combine la course à pied, le vélo et à nouveau la course à pied. La distance de référence à ces mondiaux est, dans l’ordre, 10 km de course, 40km de vélo et 5 km de course. La gestion de course est différente de celle d’une épreuve de triathlon à cause, notamment, des sensations d’enchaînement du vélo après une première course à pied. Le dernier 5 km reste aussi un défi de taille si on veut le courir vite. Pour ceux dont les forces sont davantage orientées vers le vélo et la course à pied et qui veulent se distinguer avec de meilleures performances, pour ceux dont la natation reste un “talon d’Achille” et que les vagues ou les requins poursuivent sans arrêt, pour ceux qui sont blessés à l’épaule ou pour bien d’autres raison, le duathlon reste une pratique résolument “triathlonnienne”. Le duathlon, c’est aussi pour quelques-uns une première étape vers le premier triathlon et il offre toujours un défi de taille et reste très compétitif.

Nous vous présentons une série de portraits réalisés par notre championne, triathlète et duathlète, Peggy Labonté. Portraits qui mettent en perspective les adeptes d’une pratique qui roule souvent dans l’ombre et qu’il nous fait plaisir de mettre en lumière.

Nom : Mathieu Moreau

Âge : 29

Catégorie: Groupe d’âge 25-29

Club: Svartman Coaching

Occupation : Comptable

 

1. Depuis combien de temps pratiquez-vous le duathlon? Environ 5 ans.

 

2. Pourquoi avez-vous commencé à faire ce sport? Cycliste sur route depuis mon tout jeune âge, je commençais à être un peu tanné des risques de chute en compétition.  Alors, j’ai connu le duathlon, qui est plus sécuritaire et qui permet de diversifier davantage l’entrainement.

 

3. Est-ce que c’est votre première participation aux championnats mondiaux de duathlon? Ce sera ma 2e participation aux mondiaux, après ceux de 2009 à Concord en Caroline du Nord.

 

4. Quels sont vos objectifs pour les championnats mondiaux de duathlon 2012? Un top 15 dans mon groupe d’âge serait très satisfaisant.

 

5. Quels sports ou quelles activités pratiquiez-vous avant de faire du duathlon? Tel que mentionné précédemment, j’ai fait de la compétition de vélo de route pendant plusieurs années. J’ai également joué au tennis et fait plusieurs autres sports pour le plaisir.

 

6. Épreuve préférée parmi les 2 sports: Simplement plus à l’aise sur un vélo alors je choisis celle-ci!

 

7. Nombre d’heures d’entraînement par semaine : Environ 10 à 12 heures par semaine.

 

8. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans une compétition de duathlon? Étant seul avec nous même, la gestion de l’effort n’est pas toujours évidente, alors il faut bien connaître nos capacités. Également, les fameuses transitions demeurent un défi en soi…il faut les pratiquer beaucoup!

 

9. Où allez-vous chercher la motivation pour faire ce genre d’entraînement? Je m’entraine d’abord pour avoir une bonne condition physique et être en santé. Je sais que le corps humain a de grandes capacités et j’adore le tester continuellement pour repousser ses limites!

 

10. Prévoyez-vous participer aux championnats mondiaux de duathlon qui auront lieu à Ottawa en 2013? Malheureusement non! J’ai été contraint à l’abandon lors des qualifications en raison d’une blessure au tendon d’Achille.


Ce matin, l’équipe du Grand défi Pierre Lavoie dévoilait la vidéo officielle du 1000 km édition 2012. Chez Triathlon Québec, nous adhérons aux valeurs véhiculées par cet évènement unique qui vise à développer de saines habitudes de vie et à promouvoir la persévérance scolaire chez les enfants. C’est donc un plaisir pour nous  de vous partager cette magnifique vidéo.

À voir absoluement!

Le 1000 km du Grand défi Pierre Lavoie édition 2012

Voyez l’album photo de l’événement et les reportages de Radio-Canada, TVA Sports et autres!

Voilà, la saison québécoise de triathlon est terminée. Une superbe saison! Nous allons continuer de vous tenir au courant de l’actualité québécoise en triathlon tout au long de l’année. À venir votre gala le 3 novembre prochain (plus de détails suivront). Nous allons vous préparer une saison 2013 avec des changements et encore plus d’événements! Longue vie au triathlon, aux triathlètes et à Triathlon Québec!! Et merci à tous pour votre implication précieuse et vos contributions pour nous aider à développer ce sport en pleine évolution. Notre impact se répercute notamment au niveau des jeunes et moins jeunes qui aiment les défis et veulent adopter de meilleures habitudes de vie. Faites-nous parvenir vos témoignages, faites-nous part de vos idées, et impliquez-vous auprès de vos clubs respectifs, de vos proches et au sein de votre fédération!

Par Peggy Labonté https://www3.bell.net/pegpeg30

Pour voir l’album photo, cliquez ici!

C’est dimanche le 26 août que se déroulait la 10e édition du Triathlon de Valleyfield sur le superbe site du parc Delpha-Sauvé, situé entre la baie du lac Saint-François et le vieux canal de Beauharnois.  Malgré le mercure qui dépassait les 30 degrés, 1409 triathlètes, duathlètes et coureurs s’étaient déplacés pour l’occasion. C’est 265 athlètes de plus que l’an dernier.  Par le fait même, certains athlètes compétitifs étaient présents pour participer à la Coupe du Québec en duathlon ou au championnat provincial en triathlon olympique (18 ans et plus, U13, U15).  Luc Girard, organisateur de l’événement, a qualifié cette 10e édition de vif succès et avec raison!

Le Triathlon de Valleyfield a bien progressé depuis 2002 (1ère édition) où seulement 250 participants avaient pris part à l’événement.  Une décennie plus tard, ce nombre correspond plutôt au nombre de bénévoles impliqués.  Les années se suivent, mais ne se ressemblent pas, puisque plusieurs améliorations ont été apportées en 2012.  En nouveauté, un trajet de natation repensé, un parcours de course simplifié, une aire de transition élargie et un parcours de vélo repavé.  En effet, pour le plus grand bonheur des cyclistes, la ville a injecté 45 000$ à la réfection des rues.

Le comité organisateur du Triathlon a généreusement remis tous les profits à la Fondation de l’Hôpital du Suroît.  Et, c’est sans compter les courses à pied de 5 et 10 km.  Ces courses étaient en l’honneur de Robert Sauvé, un homme qui a œuvré à promouvoir l’activité physique et qui a été président du Club de course L’Astragale.  Celui-ci était d’ailleurs sur place pour participer et faire un bref discours d’avant course.  L’argent recueilli bénéficiait à un organisme régional au service des gens atteints du cancer : ENSEMBLE, COURONS VERS LA GUÉRISON.

Au-delà des dons charitables, 6000$ en bourses ont été donnés aux gagnants, des médailles ont été attribuées aux 3 premiers de chaque catégorie et de nombreux prix de présence ont été offerts (vélos Argon, coffres de toît Cargotek, wetsuits et visières de natation de Sentiers Plein-Air).  Il faut dire que les commanditaires avaient le cœur sur la main!  La Banque Nationale, par exemple, a joué un rôle très important en offrant 35 000$.

Avant de conclure, le Triathlon de Valleyfield ne cesse de s’améliorer grâce à Luc Girard, au comité organisateur, aux bénévoles dynamiques et aux multiples commanditaires.  Merci à tous ces gens pour leur implication et bravo aux athlètes qui ont relevé le défi!

Pour conclure, les nombreux participants ont clairement apprécié leur journée.  Ici-bas, des duathlètes et triathlètes ont gentiment accepté de témoigner de leur expérience positive au parc Delpha-Sauvé.  Il ne serait pas surprenant de les retrouver à Valleyfield en 2013!

“C’était une course impeccable. Moi, ce qui m’a le plus impressionné et qui est super important en vélo c’est le nouveau pavage qui a été fait dernièrement. Je crois que tous les athlètes ont apprécié de rouler en vélo de triathlon sur du pavage splendide. Longue vie au triathlon et duathlon de Valleyfield :-).” – Sylvie Charest, duathlète

“Valleyfield a une saveur particulière pour moi. J’y ai fait mon premier triathlon sprint en 2007, puis un suivant en 2009.  Maintenant, les participants se font plus nombreux, alors c’est bon signe.  Ce que j’apprécie: le parcours est facile à suivre pour les spectateurs et leurs encouragements savent nous stimuler tout le long de la course.  En général, j’’aime bien le parcours de course; le paysage est varié et joli, surtout le long du fleuve où les arbres nous offraient un ombrage plus qu’intéressant.  Le fait d’offrir des bourses attire un calibre d’athlètes intéressants. Stimulant!” – Isabelle Pelland, triathlète

“J’ai encore beaucoup apprécié l’événement. C’était ma deuxième expérience. Les deux fois en duathlon. Le site et les parcours sont supers, vraiment.  Je donne un beau 9 sur 10 à l’événement et merci à tous les bénévoles organisateurs.  Et un gros point positif pour les belles bourses !!! Merci.”  – Jonathan Tremblay, duathlète

“C’était ma première expérience de triathlon, mais avec toute l’organisation, je me suis sentie bien encadrée et j’ai vraiment appréciée le tout!” – Charlotte Jacquemin, triathlète

“Je crois que le calibre des athlètes qui ont participé aux différentes épreuves démontre clairement la réussite de cet évènement. Beau parcours et belle organisation égale une réussite et ça donne envie d’y revenir.  À l’an prochain duathlon de Valleyfield! Je suis aussi bien d’accord avec pour dire que c’était très agréable de rouler sur un beau pavage.”  – Stéphanie Simpson, duathlète

“J’adore ce triathlon pour plusieurs raisons.  C’est une organisation composée de passionnés qui sont constamment à la recherche de nouvelles façons d’améliorer l’événement. Le meilleur exemple est le remaniement du parcours qui, au cours des dernières années, a su accommoder un nombre de plus en plus grands de compétiteurs. Cette année aussi, une aire de transition plus grande et une section de route nouvellement repavée.  De plus, j’aime la fébrilité qui règne lors de cet évènement. Le parcours permet de repasser à maintes reprises auprès de l’aire de transition et des nombreux supporteurs qui ne sont pas avares d’encouragements! C’est très motivant!  Une autre belle caractéristique est que les 5 premiers de chaque épreuve reçoivent des bourses en argent, ce qui favorise à mon avis le calibre et le dépassement des participants! Bravo pour cette initiative et merci aux commanditaires!”  – François Lefebvre, triathlète

C’était ma véritable première course à Valleyfield et c’était une bonne organisation.  C’était très bien. Tous les services sont centralisés, un parcours très bien indiqué, un site qui peut accueillir beaucoup de participants et on ne se sentait pas dans les pattes de personne.” – Frédéric Chénard, duathlète

“J’ai trouvé l’accueil des bénévoles très chaleureux, tout au long de la journée.  J’ai aimé la rapidité pour recevoir son dossard et se faire marquer, puis la collation après les épreuves. C’est un beau parcours qui permet à tous les participants et ce, peu importe le calibre, d’avoir du plaisir…” – Dominic Hébert, triathlète

 

Ironman Tremblant : Une première édition mémorable

Communiqué – Ce 19 août 2012 à Mont-Tremblant a eu lieu la première édition d’un Ironman au Québec. Près de 2500 participants, venus d’un peu partout à travers le monde, ont pris le départ à 7 heures du matin pour compléter l’épreuve mythique qui enchaîne près de 4 km de natation, 180 km de vélo et 42.2 km de course à pied, pour un total de 226 km.

Cet événement, que Triathlon Québec a soutenu activement, est un levier exceptionnel pour le développement du triathlon et est directement en lien avec cette partie de notre mission : offrir une structure intègre, adaptée et rassembleuse assurant une pratique sécuritaire du sport tant au niveau récréatif que compétitif. Grâce à cet événement qui se répétera durant les quatre prochaines années, nous offrons encore plus de possibilités à nos membres de s’épanouir selon leurs objectifs personnels en favorisant un mode de vie sain.

Durant plus d’un an, la région de Mont-Tremblant a donc vécu au rythme de la préparation d’une course qui a nécessité beaucoup de logistique et une grande organisation. Grâce à son travail, l’équipe d’organisateurs basée à Tremblant et soutenue par World Triathlon Corporation, la maison mère d’Ironman, a préparé un événement qui se compare maintenant aux meilleures courses de ce type et qui permet aux athlètes de se qualifier pour les championnats du monde et aux autres de tester leurs limites après des mois, voire des années, de préparation intense.

Ainsi, dès sa première édition, l’Ironman Mont-Tremblant (IMMT) s’est distingué par un parcours unique (beauté du lac et qualité de l’eau, parcours de vélo impeccable dans les vallons de Tremblant et course à pied dans les boisés du Parc Linéaire) et par une équipe qui a su faire la différence : on recense l’implication de plus de 3400 bénévoles.

Pierre Lavoie, plusieurs fois champion du monde Ironman, explique qu’il a été porté par la foule et les bénévoles qui l’ont sans cesse encouragé. Romain Guillaume, grand gagnant de l’épreuve en 8h40, souligne aussi l’aspect exceptionnel de l’événement : « C’est impressionnant le nombre de bénévoles et d’encouragement que j’ai reçus. Je n’en ai jamais reçu autant. (…) C’est un rêve que je réalise ici en remportant mon premier Ironman. »

Pour sa part, Dominique Piché, qui a mené avec passion une équipe dévouée, explique que l’IMMT n’aurait jamais été un si grand succès sans la participation de la Fédération de Triathlon du Québec. « Triathlon Québec a su faire la différence. Les équipes de bénévoles aux stations d’aide du parcours de course à pied ont soutenu avec engouement chaque participant, jusqu’au tout dernier qui finissait tard dans la soirée alors qu’il faisait nuit ».

Triathlon Québec a effectivement soutenu l’organisation de l’IMMT en aidant au recrutement de plus de 500 bénévoles provenant de nombreux clubs de triathlon à travers le Québec. Chaque équipe de station d’aide est composée d’une soixantaine de bénévoles, menée par un capitaine d’équipe provenant le plus souvent d’un club. Elles ont ravitaillé les athlètes en eau, fruits et encouragements. L’événement a atteint un haut niveau qualité grâce notamment à l’implication des clubs de triathlon québécois et des ses membres enthousiastes.

Triathlon Québec est aussi l’organisme qui sanctionne l’IMMT et qui fourni et adapte la règlementation pour cet événement hors normes. Une équipe d’une quinzaine d’officiels de Triathlon Québec, menée par l’officiel international Yan Therrien de Triathlon Québec, ont encadré la course afin de s’assurer du respect de la règlementation et de la sécurité.

Cet évènement a d’excellentes retombées économiques pour la région de Tremblant et notre fédération. Celles-ci seront stratégiquement réinvesties dans le développement de la pratique du triathlon pour TOUS! Rappelons que l’IMMT se classe, dès sa première édition, parmi les meilleures courses Ironman à travers le monde. Voici quelques chiffres : 70% d’hommes, 30% de femmes, près de 600 québécois, 1400 canadiens, plus de 800 américains, 104 mexicains, des anglais, des allemands, des australiens…, et plus de 3400 bénévoles. L’événement aura lieu chaque année jusqu’en 2016, et on l’espère, durant les 30 prochaines années.

Revue de presse
https://vimeo.com/47974330
https://www.pointdevuemonttremblant.com/Sports/Athletisme-et-course/2012-08-22/article-3058524/Ironman-de-Tremblant-%3A-une-affaire-de-c%26oeligur%26hellip/1
https://www.laction.com/Sports/Athletisme-et-course/2012-08-22/article-3058470/Heynemand,-Malo,-Fiset-a-lhonneur/1
https://www.radio-canada.ca/sports/PlusSports/2012/08/19/004-ironman-mont-tremblant.shtml
https://www.journaldemontreal.com/videos/sports/sports/1245200562001/pierre-lavoie-impressionne-par-lironman-de-mont-tremblant/1795644648001
https://www.journaldemontreal.com/2012/08/19/cest-un-depart
https://www.journaldemontreal.com/journaldemontreal/sports/encoreplus/archives/2011/06/20110606-161303.html
https://tvasports.ca/tvasports/sportsdete/archives/2012/08/20120819-180944.html
https://tvasports.ca/video/un-premier-ironman-au-mont-tremblant/1794053261001

Par Francis Sarrasin Larochelle, Entraîneur Chef du Rouge et Or et membre du CA de Triathlon Québec

Cette année encore, le Championnat Canadien Juniors se tiendra à Kelowna tandis que du côté senior, il s’agira d’une Coupe Panaméricaine ITU. Pour les athlètes Québécois, il s’agit d’une compétition de très grande importance, voire le peak de l’année pour certain(e)s. Pour les juniors, elle déterminera le classement cumulatif de la série national junior en plus évidemment du titre de Champion(ne) national ! Pour les seniors, c’est une autre occasion de faire des points ITU et d’améliorer leur classement dans la hiérarchie mondiale afin de pouvoir participer à des Coupes du monde par la suite.

Rappellons d’abord les faits saillants de nos Québécois en 2011… Chez les garçons, Francis Lefebvre s’était fait couronner champion canadien tout juste devant Gabriel Legault qui avait terminé deuxième. Le manito-québécois Charles Brault avait quant à lui terminé 5e, alors que Philippe Tremblay, Charles Khazoom, Philippe Deschamps et Antoine Jolicoeur Desroches avait respectivement terminé 6e, 7e, 9e et 10e ce qui confirmait une domination du Québec sur la scène nationale junior. Chez les filles, le meilleur résultat avait été celui d’Amélie Kretz qui a pris le 6e rang tandis que Karol-Ann Roy avait terminé en 9e position. Chez les seniors, Yanik Leduc avait réalisé un très solide performance en terminant 9e de la Coupe Panaméricaine et 4e parmi les Canadiens. Du côté féminin, Mireille Rodrigue avait elle aussi terminé 9e et 5e chez les Canadiennes, une très belle course pour elle également. Voir résultats 2011 ici : https://www.appletriathlon.com/results-2011.php

Pour cette édition 2012, les attentes de nos athlètes seront tout aussi élevées, voire davantage. Du côté féminin, Amélie Kretz sera particulièrement à surveiller, elle qui connait une excellente saison et qui a remporté les trois premières manches de la Série Nationale Junior à Saskatoon, Magog et Ottawa. Elle a également pris le 5e rang des Championnat Panaméricains Juniors à Edmonton en dépit d’une chute à vélo. Emy Legault et Camille Delamarre, qui en sont à leur première saison chez les juniors, seront des prétendantes au podium, elles qui ont terminées déjà 3e à Ottawa et Magog respectivement. Karol-Ann Roy, Sarah Francoeur, Véronique Demers et Elisabeth Boutin complètent en force la délégation québécoise. Du côté masculin, une chaude lutte est à prévoir pour le titre national notamment entre Francis Lefebvre, Alexis Lepage et Tyler Mislawchuck qui ont chacun gagné une course de la série nationale cette saison. Deux autres Québécois, Gabriel Legault et Xavier Grenier Talavera, seront d’autres prétendants au podium. Parmi les autres athlètes québécois juniors, tous ont la possibilité de viser un top 10 puisque la grande majorité d’entre eux l’ont déjà fait cette saison. Jeremy Briand, Charles Khazoom, Charles Brault, Philippe Tremblay, Philippe Vezina, Antoine Jolicoeur-Desroches, Maxime Labarre, Simon Delisle sont tous des athlètes qui seront à surveiller samedi. La délégation québécoise junior affiche certainement sa plus grande profondeur depuis de nombreuses années.

Du côté senior, Mireille Rodrigue et Isabelle Rouleau seront les représentantes féminines tandis que Marc-Antoine Christin et Yanik Leduc prendront le départ chez les hommes. Le défi sera d’autant plus exigeants pour ces athlètes que les courses sont en après-midi et que la météo annonce des températures dans les 35 degrés. Le parcours coteux de vélo rajoutera aussi un challenge à ces athlètes qui seront à suivre dimanche !