Leur visage vous est familier, vous les croisez pour certains chaque fin de semaine aux quatre coins du Québec et parfois même, cela depuis des années. Toujours là pour s’assurer de votre sécurité, souvent présents pour vous rappeler les consignes lors des réunions d’avant-course et parfois, à votre plus grand désespoir, aussi pour faire appliquer les règlements et mettre (très peu) des pénalités, les officiel(le)s de Triathlon Québec jouent un rôle majeur dans le déroulement des évènements. À travers cette série de portraits, nous souhaitons vous faire découvrir les femmes et les hommes derrière le sifflet. Qui sait, cela pourrait même vous donner envie de rejoindre l’équipe !

Officiel pour Triathlon Québec depuis 2013 et de niveau CTO depuis 2017, directeur technique de la fédération pendant huit ans, nous avons le plaisir de vous présenter une des figures de proue des officiels québécois, Éric Noël.

Triathlon Québec : Bonjour Éric, pour commencer, peux-tu te présenter ?

Éric Noël : Eric Noël et suis un fier rosemontois, maintenant nommé rosepatrien, selon la nouvelle appellation officielle de la ville de Montréal. Je suis dans la fin trentaine et suis officiel de niveau continental en triathlon (CTO) depuis 2017. Je suis présentement en poste avec l’équipe de Podium Productions. Nous organisons entre autres le Triathlon Mondial Groupe Copley qui sera l’hôte des Championnats du monde de triathlon sprint et de relais en 2022. J’agis en tant que directeur de course, un beau défi à relever ! Je suis également directeur de site pour le Festival Distrix et le FIBA 3×3 World Tour qui ont lieu à la Place des Festivals à Montréal. Je suis aussi directeur du scrutin dans la circonscription de Rosemont pour les élections provinciales, qui auront lieu en 2022 elles aussi.
Avant d’être en poste chez Podium Productions, j’ai été pendant huit ans directeur technique à Triathlon Québec. Je connais donc beaucoup d’événements partout au Québec. Côté sport, je pratique la course à pied quand j’ai le temps. J’ai aussi joué au hockey dans mon jeune temps. J’ai aussi fait quelques triathlons et duathlons avant d’atterir chez Triathlon Québec. Mon point faible est définitivement la natation !

Triathlon Québec : On peut donc facilement dire que tu es quelqu’un de très impliqué dans le sport québécois ! Depuis combien d’années es-tu officiel pour Triathlon Québec et qu’est-ce qui t’a poussé à le devenir ?

Éric Noël : Je suis officiel depuis 2013. J’ai débuté avec peu de connaissances en triathlon et j’ai énormément appris des autres officiels. Un merci spécial à Lise Dubé, Eric Prégent, Pierre Jeannotte et Yan Therrien qui m’ont offert un accueil exceptionnel comme officiel à mon entrée en poste à Triathlon Québec. Je leur en dois beaucoup. C’est en les regardant et en posant des questions que j’ai appris « le métier » d’officiel. On se voyait presqu’à toutes les fins de semaine, on était vraiment une belle équipe.
Ayant été en poste avec TQ, disons que la progression a été exponentielle. J’ai été officiel à plus de 250 événements depuis 2013, dont plus d’une vingtaine de niveau international en tant qu’officiel de secteur, mais aussi comme délégué technique (Chicago, Bermudes, Abu Dhabi, Edmonton, Montréal, Toronto, Sarasota, Richmond, Banyoles, etc.). J’aime également tout ce qui sort de l’ordinaire, comme le paratriathlon, le relais par équipe mixte, le format par élimination, les formats spéciaux, etc.
J’ai ensuite suivi la formation de niveau national en 2015 et continué vers le niveau continental en 2017. J’ai fait ma recertification à l’été 2021. Mais disons que présentement c’est plutôt au ralenti au niveau des événements depuis le début de la pandémie.

Triathlon Québec : Peux-tu nous en dire un peu plus sur ce qui t’a poussé à devenir officiel en triathlon ?

Éric Noël : Je n’ai pas vraiment eu le choix avec mon poste à TQ ! Mais j’ai tellement adoré l’expérience que je continue à l’être même si je ne suis plus en poste. L’ambiance des événements, les liens que j’ai créé tant avec les officiels qu’avec les comités organisateurs m’incitent définitivement à continuer comme officiel.

Triathlon Québec : Après 250 évènements de triathlon, qu’est-ce qui te encore motive à être officiel chaque week-end ?

Éric Noël : L’appel du Tim Hortons à 5h du matin ou de la crème glacée la veille de l’événement, ça n’a pas de prix ! J’aime l’idée de faire équipe avec le comité organisateur pour livrer le meilleur événement possible le jour venu. Organiser un événement est extrêmement difficile. On a besoin que tout le monde travaille dans la même direction pour offrir la meilleure expérience possible aux participants. Ça me motive à continuer.

Triathlon Québec : Quelles sont selon toi les qualités qui font un bon officiel de Triathlon Québec ?

Éric Noël : Les officiels québécois sont reconnus pour être d’excellents officiels. En plus d’avoir probablement le meilleur programme de formation du pays, les officiels du Québec sont proactifs et dévoués. C’est selon moi la force de l’équipe du Québec.
Comme officiel, on doit toujours voir deux, trois coups à l’avance. Si l’on se dit « hmmm, ici il y a un risque que telle situation arrive… » et bien, c’est sûr et certain que ça va arriver ! Alors mieux vaut régler le problème tout de suite car les problèmes finissent toujours par nous revenir, à nous les officiels. Alors la proactivité est de mise. Il faut également travailler en équipe avec le comité organisateur. L’événement leur appartient et nous sommes là pour les aider à livrer le meilleur spectacle possible. La collaboration est donc très importante pour créer une relation de confiance.

Triathlon Québec : Toi qui a parcouru la belle province et ses beaux triathlons, quel est ton évènement préféré  ?

Éric Noël : Une question piège pour l’événement au Québec ! Chaque événement a son point fort. Je pourrais dire Nicolet, Joliette, Victoriaville, Magog, Montréal, Sorel-Tracy, Valleyfield ou Québec, tous pour différentes raisons. Je ne vais jamais à un événement à reculons.
À l’international, je dirais la série mondiale aux Bermudes. J’y suis allé à deux reprises et l’ambiance est incroyable pour une si petite île de 63 000 habitants. Je crois que tout le monde y est. Le décor avec les maisons roses donne une très belle toile de fond. Malheureusement l’événement est encore une fois annulé en 2021.

Triathlon Québec : Peux-tu nous donner une ou plusieurs raisons de devenir officiel en triathlon ?

Éric Noël : Le plaisir de se lever aux petites heures du matin ! C’est plaisant de faire vivre des moments forts aux participants. J’ai vu des athlètes monter les échelons de la catégorie U15 jusqu’aux plus hauts niveaux. Le niveau local est extrêmement important pour le développement des athlètes, et le rôle des officiels est aussi de faire vivre l’expérience de compétition aux athlètes en développement. Ça fait partie de l’apprentissage. C’est une des raisons qui me motivent également.

Triathlon Québec : Avec tous ces évènements à ton actif, tu dois bien avoir une petite anecdote à nous partager ?

Éric Noël : Oh làlà! Il faudrait les prendre toutes en note pour ne pas en oublier, on pourrait écrire un livre ! Je pourrais en dire quelques-unes :

  1. La fois où l’on a regonflé l’arche 20 secondes avant le passage du peloton des Élites.
  2. Nos nombreuses interventions « musclées » avec les triporteurs à Valleyfield et Victoriaville seront toujours des moments mémorables.
  3. Les pluies diluviennes et les tapis trop mouillés lors du démontage.
  4. Le poisson qu’on a retrouvé en déroulant un tapis l’année suivante.
  5. L’autobus qu’on a remorqué in extremis 8 minutes avant le passage des Élites à la Coupe du monde à Montréal.
  6. La fois où on a imprimé le ruban d’arrivée la veille de l’événement pour les Jeux du Québec.
  7. La fois où j’ai chronométré une pénalité de temps en comptant à voix haute à défaut d’avoir un chronomètre.

Je suis sûr qu’il y en aura des dizaines d’autres à venir au cours des prochaines années!

Triathlon Québec : On l’espère car nous comptons sur toi pour continuer ton implication malgré tes nouvelles fonctions ! Merci Éric pour cet entretien et bon évènement à Abu Dhabi !

“Voici mon petit mot pour un coach exceptionnel, le seul, l’unique Georges Gay coach du club Élite triathlon ! Toujours le sourire, toujours positif, toujours attentif à ses athlètes. Georges et sa blonde Julie Vassivière ont eu un rêve, celui de créer un club qui propose à des athlètes de tous les niveaux et de tous les âges des entraînements dignes des élites. Ils ont travaillé jours et nuits, semaines et fin de semaines, en plus de leurs emplois respectifs, pour monter le club et mettre en place des programmes d’entraînement tant pour les jeunes que pour les adultes. Georges se tient à jour de toutes les avancées pour nous en faire profiter. Et c’est pas mal la nuit qu’il lit tous ces ouvrages ! Ils ont redoublé d’efforts pour continuer de faire vivre le club pendant la COVID, pour garder tout le monde motivé, pour trouver une autre manière de nous entraîner ensemble mais à distance. Le retour aux entraînements extérieurs nous a fait un bien fou. Il suffit de voir son sourire sur la photo ! Georges vibre pour le triathlon. Il n’y a pas meilleur ambassadeur que lui pour ce magnifique sport, surtout auprès des jeunes.  Ces jeunes, il y croit. Il travaille fort pour amener plus de jeunes à découvrir le triathlon, à mettre en place les programmes de Triathlon Québec adaptés selon les âges. Désormais, le triathlon est offert au Collège Ste-Anne à Lachine.  Je me doute que le triathlon jeunesse n’a pas le même budget que le hockey ou le soccer. Mais chose certaine, ils n’ont pas Georges Gay ! Chez nous, on s’entraîne en famille, parents et enfants. C’est un bel exemple de santé pour nos enfants, un lien entre nous et un moteur pour l’avenir.”

“Depuis que je le connais, il n’a jamais cessé de se former que ce soit en passant ses certifications de plus en plus avancées en triathlon, course, natation mais également en intégrant à ses programmes les dernières avancées en matière de performance, ou de nutrition. Mais cela n’est rien car ceux qui le côtoie savent que la magie réside non dans ses connaissances mais dans la personne qu’il est. Sur le bord du terrain, il paie de sa personne, beau temps mauvais temps pour nous montrer le bon mouvement, nous prodiguer des conseils ses judicieux, ou un mot d’encouragement avec sa bonne humeur communicative. Georges n’est pas seulement un entraineur de calibre mais c’est un des meilleurs ambassadeurs du triathlon, auprès des institutions, des écoles, de nos partenaires d’affaires. Il a une vision du sport qu’il partage avec une simplicité et une conviction qui vous donne envie de vous dépasser. Il est le genre d’entraineur qui inspire. En rejoignant Élite triathlon, j’étais seulement venu chercher un entraineur, et j’ai trouvé un homme inspirant et un ami à qui m’a accompagné dans tous mes défis d’athlètes. Alors, merci coach !”

“Georges est mon coach depuis que j’ai commencé le triathlon (2013). Nous avons évolué ensemble à travers trois clubs (les Rapides, Phoenix et Élites). Il est un coach d’exception, qui étudie, prends des cours, se renseigne et qui m’a permis d’améliorer ma technique à chaque année.  Il prend le temps de nous expliquer ce qu’il faut faire de plusieurs façons différentes : avec des exercices éducatifs, en observant ce que nous faisons ou en expliquant en classe. Même si nous sommes des amateurs et débutants, nous profitons de la science du sport de plus haut niveau. Il est aussi très généreux de son temps, très patient, un beau grand sourire, encourageant et consistent.”

“George Gay, merci pour tes enseignements et tes conseils simples et concis. Tu m’as permis de mieux composer avec la nage et de gagner en confiance. Merci pour ta présence, ta bonne humeur, pour ton sourire contagieux. Merci pour tout ce que vous mettez en place Julie et toi. Merci pour le volet “enfants” qui nous permet de bouger en famille. Merci aussi à toute ton équipe de coachs: Khalid, Julie, Tatiana, Alice, Rafaele. Merci de partager ta passion. Merci !”

“Georges Gay est mon coach depuis plus de 5 ans, je l’ai suivi à travers différents clubs et maintenant avec Élite Triathlon. Georges est un coach consciencieux qui s’assure de donner des entraînements basés sur la science et les études faites pour compléter ses nombreuses certifications. Ses entraînements hebdomadaires sont créés en fonction du temps de l’année, des courses à venir et du « pace » de chaque athlète. Nous faisons des tests pour les 3 disciplines tous les trimestres. J’ajouterais que Georges donne son temps à tous les athlètes indépendamment de l’âge. Il n’a pas de préférence pour un ou l’autre ! Il est toujours là pour nous, il écoute nos enjeux et il donne d’excellents conseils. Georges est un entraîneur exceptionnel rendant le triathlon accessible à tous. Personnellement, il m’a aidé à accéder à un niveau de performance que je n’aurais jamais pensé atteindre à 58 ans et ça me donne le goût de continuer !”

“Georges Gay, notre entraîneur, est toujours à l’écoute et nous donne toujours son 100% autant au niveau technique que pratique. L’ambiance du club est toujours au top grâce à lui tout comme les résultats de ses athlètes comme en atteste les comptes Sportstats des copains !”

“Georges est co-fondateur et entraîneur-chef du Club Élite triathlon qui évolue dans le secteur Verdun-Lasalle à Montréal depuis 2018. Entraîneur de triathlon niveau 3, il est un des rares entraineurs à suivre la formation du diplôme avancé en entraînement – À la poursuite de l’excellence. Sa philosophie repose sur la démocratisation du triathlon en offrant aux adeptes de tous âges et de tous niveaux des enseignements spécialisés qui pourraient s’appliquer aux plus grands athlètes de ce monde. Georges est un pédagogue exceptionnel, toujours très généreux en explications afin que ses athlètes puissent aussi gagner en savoir et comprendre la science derrière ses instructions.À ce jour, ses conseils ont porté fruits. À ma grande surprise, mes temps continuent de s’améliorer d’année en année. Georges a toute ma confiance. Son approche issue des dernières études pour couper dans le temps d’entraînement tout en optimisant les performances s’accorde parfaitement avec mon emploi du temps.Son leitmotive : En faire moins mais performer mieux en privilégiant la qualité sur la quantité ! Merci Georges ! Ta passion est visible dans ton beau sourire ! Ton engagement fait une différence dans la vie de bien des gens !”

“J’aimerais souligner le travail de mon entraineur Georges Gay, du club Élite Triathlon. Par sa patience, sa compétence et son amour pour le sport, il a su nous motiver et nous entrainer vers de nouveaux sommets de performance. Un énorme merci à ce grand coach pour son dévouement envers ses athlètes !”

“J’aimerais aujourd’hui reconnaître notre coach du club Élite triathlon ! Un homme tellement dévoué, engagé, innovant dans ses méthodes qui ont fait ses preuves sur notre groupe d’athlètes ! On l’aime tous beaucoup ! .Je connais Georges de puis longtemps maintenant, alors lorsqu’il a lancé son club de triathlon avec la promesse de s’entrainer moins et performer mieux, j’ai suivi. Promesse tenue – je n’ai jamais autant performé et aimé m’entraîner à tous les jours! Avec un beau groupe de passionnés, qui ont suivi Georges pratiquement depuis ses débuts et d’autres un peu plus tard, séduis par son programme. Tout le monde aime Georges le coach mais aussi, beaucoup beaucoup l’homme ! Beau temps mauvais temps, Georges est toujours là pour nous montrer le bon mouvement, nous prodiguer des conseils judicieux, ou un mot d’encouragement avec sa bonne humeur communicative. Il danse, il chante, il coach et partage sa joie de vivre contagieuse ! Georges n’est pas seulement un entraineur de calibre mais c’est un des meilleurs ambassadeurs du triathlon, auprès des institutions, des écoles, de nos partenaires d’affaires. Il a une vision du sport qu’il partage avec une simplicité et une conviction qui vous donne envie de vous dépasser. Malgré la pandémie, il a su s’adapter, faire preuve de résilience et nous a tous aider à continuer notre passion. Coach Georges, you rock !”

“Un petit mot sur coach Georges Gay d’Elite Triathlon ! Un amoureux du triathlon et surtout un amoureux du coaching pour tous les niveaux, du débutant à élite. Il est toujours là pour ses athlètes, répondre aux questions, encourager, expliquer les entraînements et suivre la progression de chacun.”

“Georges est un mordu de triathlon. Après avoir réalisé de grands exploits sportifs comme Ironman Nice et Mont-Tremblant, il a commencé à coacher plus sérieusement. Il dévore la littérature à ce sujet et termine sous peu son niveau 4 au DAE. Il est toujours à la recherche des nouveautés et des dernières recherches. Il les intègre à sa pratique et tous les athlètes en bénéficient. Sur le terrain, Georges a le regard vif: il peut corriger et donner de la rétroaction à tous et chacun. Il est toujours de bonne humeur et encourage tout le monde en leur donnant l’heure juste.Les athlètes qui lui ont donné leur confiance et qui ont suivi ses conseils et ses entraînements à la lettre, ont vu leur performance monter en flèche. Cet homme est un coach incroyable! Bonne semaine des entraîneurs !”

“Georges Gay est un passionné du triathlon et il nous partage son enthousiasme dès les premières minutes.Il est un coach attentionné qui s’occupe de tous ses athlètes comme si nous étions tous des élites. Il sait comment garder un esprit de groupe et de famille dans le club ! Il est toujours prêt à se former et acquérir des nouvelles connaissances pour pouvoir nous accompagner et nous guider dans le monde de triathlon.”

“Je connais Georges depuis longtemps maintenant, alors lorsqu’il a lancé son club de triathlon avec la promesse de « s’entrainer moins et performer mieux », j’ai fait partie des 1er à rejoindre les rangs de Élite triathlon. J’étais la recrue parfaite, professionnel, père de 2 enfants, amoureux du triathlon (mais encore plus de ma femme), c’était tout un défi pour Georges de faire vivre sa promesse.Promesse tenue jour 1, avec sa vision de la performance : accessible à tous, basée sur des indicateurs reconnus et des sessions d’entrainement le fun à faire. Il a même réussi le coup de force de me faire comprendre l’intérêt d’un programme de musculation.”

La fin de semaine passée avait lieu la 26ème édition du Trimemphré Magog, hôte de la 4ème étape de la Série Grand Prix et des 4ème et 5ème étapes de la Coupe Québec. Il s’agissait également des championnats Québécois sur distance olympique et longue distance. Malgré des conditions de chaleur accablantes, les organisateurs du Trimemphré ont une fois de plus démontrés tout leur savoir faire.

Série Grand Prix – Noémie Beaulieu et Charles Paquet récidivent !

Retour sur format sprint pour cette 4ème et pénultième étape de la Série Grand Prix. Chez les femmes, en l’absence de Maïra Carreau, Emy Legault et Noémie Beaulieu, toute deux déjà gagnantes d’une manche cette saison, faisaient figure de favorites. Première à sortir de l’eau, Claudie Simard embarquait sur le vélo en compagnie d’un gros groupe d’athlètes composé des principales favorites du jour. Cependant, ce parcours très sélectif, avec notamment la montée de la côte Southière, permettait à Emy Legault de faire parler ses qualités de grimpeuse et de déposer le vélo en T2 avec une vingtaine de secondes d’avance sur ses poursuivante. Sous une chaleur de plus en plus oppressante, un groupe composé de Noémie Beaulieu, Kamille Larocque, Clara Normand, Céline Marks, Marika Couture et Colette Reimer faisait finalement la jonction au 2.5km avec l’athlète de Tri-O-Lacs. Sur la deuxième boucle, Noémie Beaulieu et Céline Marks se détachaient progressivement, Kamille Larocque étant la seule à pouvoir suivre le rythme des deux jeunes femmes. C’est finalement dans la dernière ligne que Noémie Beaulieu (58:25) plaça und attaque pour se débarrasser définitivement de Céline Marks (58:29). Kamille Larocque (58:37) complétant le podium.
Chez les hommes, si Mathis Beaulieu arrivait avec le statut de leader au classement général, la présence de Charles Paquet et une chute à vélo lors de la reconnaissance du parcours allait complexifier sa tâche. Après une natation pour le moins “brumeuse”, Charles Paquet complétait les 750m en première position suivit par Olivier Desjardins et Filip Mainville. Ils étaient rejoints à la sortie de la T2 par Nicolas Boulouri et le local de l’étape Mickaël Simard. Les cinq hommes de tête se faisait finalement rejoindre par le groupe de chasse et un peloton d’une quinzaine d’athlète arrivait groupé en T2. À la course pied, Charles Paquet (50:08) se détacha rapidement de ses poursuivant avec un 5km couru en 15’10”. Derrière, une chaude lutte opposa Léo Roy (50:57) et Filip Mainville (51:16) et c’est finalement le plus jeune des deux athlètes du Rouge et Or qui prit la deuxième place.

Coupe Québec – Championnat Québécois distance olympique

Comme vous l’avez sûrement vu passer sur les réseaux sociaux, c’est un championnat québécois sur une distance olympique un peu particulière qui s’est déroulé à Magog. En effet, les conditions de chaleur ont amené les organisateurs et les officiels de Triathlon Québec, de concert avec la Santé Publique, à raccourcir la course pied à 5km au lieu du 10km habituel.
Chez les hommes, Antoine Michaud (01:45:51) confirme qu’il est l’homme fort de cette saison 2021. L’athlète de Bionick Triathlon, entrainé toujours à bloc par Fred Jardot, réussit le doublé après sa victoire lors du championnat québécois sur distance sprint qui s’est tenu à Gatineau à la fin juillet. Il s’impose devant Nicolas Masse-Savard (01:50:08) et Paul Lavoie (01:51:32), gagnant de la Coupe Québec 2019, qui faisait son grand retour à la compétition. Chez les femmes,  c’est Isabelle Rouleau (01:56:37) qui monte sur la plus haute marche du podium devant Justine Bluteau-Girard (01:56:48) et Alice Côté-Allard (01:57:30).

Coupe Québec – Championnat Québécois longue distance

Comme pour la distance olympique, c’est donc un triathlon longue distance un peu raccourci (1okm au lieu de 21km à la course) qui attendait les quelques 200 athlètes inscrits à cette épreuve. Chez les femmes, Clara Emond (03:51:06) a impressionné sur le vélo et à la course à pied avec les meilleurs temps féminin de la journée. Elle s’impose devant sa compère du Rouge et Or, Rachel Quirion-Arguin (04:04:06) et Marie-France Roy (04:10:30). Du côté des messieurs, après sa victoire lors du demi du Lac William, Nicolas Gilbert (03:16:50) s’avançait avec l’étiquette de grand favori. Un statut qu’il a amplement confirmé en déposant le vélo en T2 avec près de vingt minutes d’avance sur son plus proche poursuivant et un très probable record du parcours (2h06 pour 90km soit 42.77km/h de moyenne). Une avance qui diminua un peu à la course mais amplement suffisante pour s’imposer devant Jérémy Martin (03:30:53) et Alexandre Fortin (03:39:24).

Coupe Québec Jeunesse

Pour cette 4ème étape, retour avec un format plus classique, autorisant le sillonnage. Chez les femmes U15,  c’est l’athlète de la Nouvelle-Écosse, Abby Lewis, qui remporte les honneurs suivie de Samantha Woods (Tri-O-Lacs) et de Béatrice Normand (Tri-O-Lacs). Chez les hommes U15, Léandre Binette confirme sa suprématie et remporte la médaille d’or devant Loïc Poitras et Philippe Tarini. Chez les femmes U13, c’est Alysson Lavallée  qui monte sur la plus haute marche du podium malgré une pénalité de 10 secondes, suivie de Danika Robert et de Camille Brouillard. Finalement, chez les hommes U13, Robi Racine, Zachary Mecteau et Vincent Leduc forment le podium.

Coupe Québec Duathlon – 2ème étape

Les duathlètes étaient également à l’honneur puisque le Trimemphré accueillait également la deuxième étape de la Coupe Québec duathlon après une première étape à Valleyfield qui avait vu Jacob Sanders et Pascale Gougeon remporter le championnat québécois sur distance sprint. À Magog, la victoire revient à Anne-Michele Delobbe qui s’impose justement devant Pascale Gougeon et Frédérique Pérusse. Chez les hommes, la victoire revient à Marc-Andre Bernard devant Vincent Genereux et Benjamin Guerard.

Les classements de la Coupe Québec en ligne demain !

Nous savons que vous les attentez tous et nous travaillons d’arrache pied afin de les mettre en ligne dès demain ! Nous nous excusons pour ce retard.

Leur visage vous est familier, vous les croisez pour certains chaque fin de semaine aux quatre coins du Québec et parfois même, cela depuis des années. Toujours là pour s’assurer de votre sécurité, souvent présents pour vous rappeler les consignes lors des réunions d’avant-course et parfois, à votre plus grand désespoir, aussi pour faire appliquer les règlements et mettre (très peu) des pénalités, les officiel(le)s de Triathlon Québec jouent un rôle majeur dans le déroulement des évènements. À travers cette série de portraits, nous souhaitons vous faire découvrir les femmes et les hommes derrière le sifflet. Qui sait, cela pourrait même vous donner envie de rejoindre l’équipe !

Officielle pour Triathlon Québec depuis 2015, entraîneure, athlète et même administratrice du groupe Triathlon au Québec, il nous fait plaisir de mettre en lumière Sylvie Vicaire à travers ce portrait.

Triathlon Québec : Bonjour Sylvie, pour commencer, peux-tu te présenter ?

Sylvie Vicaire : Bonjour, je me nomme Sylvie Vicaire, je suis âgée de 58 ans. Je suis chimiste à la retraite depuis maintenant 5 ans et je suis entraîneure de triathlon à temps plein depuis 2016. Une très belle façon d’occuper sa retraite !

Triathlon Québec : Depuis combien d’années es-tu officielle pour Triathlon Québec et qu’est-ce qui t’a poussée à le devenir ?

Sylvie Vicaire : Je suis officielle en triathlon depuis 2015 au niveau provincial. Étant moi-même triathlète depuis près de 15 ans, devenir officielle m’a permis de voir le triathlon sous toutes ses facettes.

Triathlon Québec : Une belle continuité dans le sport. Après toutes ces années, qu’est-ce qui te motive à être officielle chaque fin de semaine ?

Sylvie Vicaire : Être officielle m’apporte beaucoup de fébrilité. À chaque évènement, j’ai des papillons car on peut ressentir et percevoir la nervosité des participants. On voit leur concentration, leur détermination, leur courage aussi. Et on vit cela de très proche avec eux.

Triathlon Québec : Quelles sont selon toi les qualités qui font un.e bon.ne officiel.le de Triathlon Québec ?

Sylvie Vicaire : Une des qualités qu’un.e officiel.le doit posséder est la confiance en soi car nous devons prendre des décisions importantes et les assumées même si parfois il s’agit de décisions difficiles comme raccourcir la distance d’une course pour des raisons de sécurité.

Triathlon Québec : Toi qui a parcouru la belle province et ses beaux triathlons, quel est ton évènement préféré  ?

Sylvie Vicaire : Je ne peux pas choisir un évènement coup de cœur au Québec car ils ont tous leur singularité. Que dire du Ironman avec ces milliers de participants, que dire du X-Treme Canadaman avec son niveau de difficulté, que dire de tous les évènements de la Coupe Québec présentée par Spark. Trop de coups de cœur pour n’en choisir qu’un !

Triathlon Québec : Peux-tu nous donner une ou plusieurs raisons de devenir officiel en triathlon ?

Sylvie Vicaire : Être officiel.le nous fait vivre des moments privilégiés aux premières loges. C’est une expérience incroyable de suivre en moto les triathlètes PRO au IronMan Mont-Tremblant. C’est probablement la meilleure place pour suivre l’évènement mais là encore, il faut faire preuve de confiance en soi et en ses décisions car donner une pénalité à un.e PRO, ça élève le niveau de stress croyez-moi !

Triathlon Québec : Avec tous ces évènements à ton actif, tu dois bien avoir une petite anecdote à nous partager ?

Sylvie Vicaire : C’est plus un souhait qu’une anecdote. J’ai eu le privilège d’être athlète à deux championnats du monde pour Équipe Canada. Ces évènements sont extraordinaires. Y être comme officielle serait un rêve pour moi.. et c’est permis de rêver n’est ce pas ?! Le triathlon c’est une passion. Officielle, athlète, entraîneure, je ne me vois pas arrêter de sitôt.

Triathlon Québec : Merci Sylvie pour cet entretien et rendez-vous le 4 septembre au triathlon Lac-Etchemin !

Alors qu’il sera l’hôte des Championnats du monde sur distance sprint en 2022, l’édition 2021 du Triathlon Mondial Groupe Copley se voulait être une répétition générale avec la présence des meilleurs triathlètes au monde. En effet, Montréal était la première occasion où World Triathlon essayait son nouveau format par élimination alors que du côté de la Série Grand prix, on retrouvait pour la première fois de la saison un format spécial. Le Vieux-Port était également l’hôte des 3ème étapes de la Coupe Québec présentée par Spark Sports Nutrition au niveau groupes d’âge et jeunesse.

Un défi organisationnel immense, un nouveau format intense. Voilà ce que promettait cette édition 2021 du Triathlon Mondial Groupe Copley. Pour le directeur de course, Éric Noël “on peut définitivement dire mission accomplie pour cet événement test en vue des championnats du monde de 2022 ! Organiser l’un des premiers événements internationaux au pays en situation de pandémie a été un défi titanesque avec toute la logistique qui en découle. Malgré les restrictions liées au protocole COVID-19, nous avons tout de même pu offrir une expérience mémorable pour les jeunes U13 et U15 de la série Coupe Québec et aux athlètes de la série Grand Prix qui ont utilisé la zone de transition des Élites. Le défi Triple Couronne a également été un beau succès pour les personnes assez « crinquées » pour se lancer ce défi! Cela étant dit, on a tous très hâte de récidiver et de pouvoir organiser des épreuves plus « standards » avec des départs de masse et souligner les accomplissements de tous avec des podiums groupes d’âge. Maintenant, planchons sur les championnats du monde de 2022 !”

WTCS – Un triplé français historique, Flora Duffy continue sur sa lancée

Les meilleurs triathlètes mondiaux étaient en action dès le vendredi pour les qualification de l’épreuve éliminatoire. Un nouveau format intense qui se déroule sur deux jours. La distance est très courte, soit un super sprint : 300 m de natation, 6,6 km de vélo et 2 km de course. Après les qualification et les repêchages, aucun canadien n’était parvenu à obtenir son ticket pour les finales du samedi. Amélie Kretz, de Sainte-Thérèse, a été contrainte à l’abandon lors des qualifications de vendredi en raison d’une blessure, tandis que le Montréalais Jérémy Briand n’a pas été en mesure de se qualifier pour la finale.
Le samedi, la championne olympique Flora Duffy prenait le meilleur sur trois américaines (23:07) pour mettre la main sur un deuxième titre en carrière au triathlon international de Montréal. Elle devançait Taylor Knibb (23:14) , qui a été devant sur le vélo pendant toutes les courses du week-end et Taylor Spivey (23:24) qui se consolait de sa non participation aux Jeux olympiques avec une belle troisième place.
Chez les hommes, pas moins de quatre français avaient fait le déplacement et cela en a valu la peine puisque  la grande finale a abouti à un retentissant triplé. Qualifié de justesse lors de la deuxième course (9e), Dorian Coninx (22:07) a franchi la ligne en tête, juste devant Vincent Luis (22:08) et Léo Bergère (22:10), pour remporter sa deuxième WTS. La France réalise un triplé historique, un exploit réalisé seulement pour la deuxième fois de l’histoire.

Relai Mixte – Des performances encourageantes pour Emy Legault et Jérémy Briand

C’est à la maison que Jérémy Briand et Emy Legault ont vécu leur première sélection en relai mixte à l’occasion d’une étape des Séries mondiales de triathlon. Les deux québécois étaient associés à la jeune Ontarienne Kira Gupta-Baltazar et au Britanno-Colombien Brock Hoel. Si Kira Gupta-Baltazar sortait première de l’eau, l’écart s’est toutefois creusé au fur et à mesure avec les meilleures équipes en lice. Ce sont finalement les Américains qui ont eu le dernier mot pour s’imposer, suivis des Néo-Zélandais et des Italiens. Dernier relayeur de la formation, le Québécois Jérémy Briand a franchi la ligne d’arrivée en 8e place.

Série Grand Prix – Charles Paquet et Noémie Beaulieu confirme leur bonne forme

Après deux étapes sur format sprint, place à la nouveauté ! Au programme, des demi finales en contre-la-montre sur super-sprint puis des finales A et B en fonction des résultats du matin sur la même distance.
Chez les femmes, en l’absence de Kira Gupta-Balthazar et d’Emy Legault, vainqueurs des deux premières étapes, plusieurs athlètes pouvaient prétendre à la victoire. Première à sortir de l’eau, Maïra Carreau embarquait sur le vélo en compagnie d’un petit groupe d’athlètes composé de Noémie Beaulieu, Claudie Simard, Kamille Larocque et Jamie Harker. Arrivées groupées en T2, la victoire allait donc se jouer à la course entre ces six jeunes femmes. C’est finalement Noémie Beaulieu (22:05) qui réussit à tirer son épingle du jeu à la faveur d’une incroyable course pied pour s’imposer devant Maïra Carreau (22:11) et Kamille Larocque (22:35).
Chez les hommes, alors que nous aurions aimé le voir en action sur la WTSC, Charles Paquet (19:55) faisait figure de favori et a assumé son statut. Sortit de l’eau en tête en compagnie de Filip Mainville, les deux athlètes du Rouge et Or ont pris les commandes de la course pour ne plus jamais les lâcher. À la course à pied, l’athlète de Port-Cartier prit le meilleur sur son jeune compère et glane une deuxième victoire en deux participations cette saison. Il est donc accompagné sur le podium de Filip Mainville (20:09) et de Mathis Beaulieu (20:21).

Coupe Québec présentée par Spark – Distance sprint

Retour sur distance sprint pour les participants de la Coupe Québec présentée par Spark Sports Nutrition. C’est désormais une habitude, le départ « rolling start » était à l’ordre du jour afin de respecter la distanciation. Chez les hommes, la victoire revient au Calgarien Hayden Woodrow (57:54) devant l’athlète de l’université de Montréal au vélo en bois Ilrick Duhamel (1:01:36) et Étienne Chevrier (1:02:31), qui comme sa fille chez les U13, monte sur le podium. Chez les femmes, c’est l’athlète de Vancouver, Chelsea Raymond (1:09:13) qui monte sur la plus haute marche du podium devant Ann-Sophie Czech (1:09:55) et Annabelle Laurin (1:10:15). 

Coupe Québec Jeunesse – les U13/U15 installés comme leurs idoles

À la dernière minute, et ce grâce à la bonne volonté du comité organisateur du TMGC, les jeunes triathlètes québécois ont eu la chance de bénéficier de la même zone de transition que leurs idoles. Comme lors de la première étape en Outaouais, le sillonnage était interdit pour cette troisième étape. Chez les femmes U15, le podium est un copié/collé de la semaine passée avec la victoire de Samantha Wood (Tri-O-Lacs) suivie de Charlotte Fournier (Jet Triathlon) et de Béatrice Normand (Tri-O-Lacs). Chez les hommes U15, après sa disqualification de Duchesnay, Léandre Binette prit sa revanche et remporte la médaille d’or devant le Saskatchewanais Henry Bristol et Philippe Tarini. Chez les femmes U13, c’est Danika Robert qui monte sur la plus haute marche du podium, suivie de Catherine Chevrier et de Elaine King. Finalement, chez les hommes U13, Vincent Leduc, Alexandre Lajoie et Leiland O’Reilly forment le podium.

Nouveauté : un défi triple courronne très apprécié !

La promesse était la suivante : “Vous aurez l’opportunité de prendre part au nouveau Défi Triple Couronne en participant à deux distances et de tripler le plaisir ! Ce défi « Triple Couronne Montréal 2021 » inclut le combo sprint/super sprint ainsi qu’un deuxième super sprint, juste pour que ça fasse encore plus mal dans les cuisses”. La promesse semble avoir été tenue et ce nouveau défi très apprécié des triathlètes. Un nouvel incontournable du triathlon au Québec ?!

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C’est ce samedi 7 août qu’avaient lieu les deuxièmes étapes de la Série Grand Prix et de la Coupe Québec présentée par Spark Sports Nutrition  sur les bords de la rivière Jacques Cartier. Pour l’occasion, les jeunes et les élites étaient à l’honneur puisque le triathlon Duchesnay était l’hôte des championnats Québécois U13, U15, Junior et Élites/U23. 

Série Grand Prix – Championnat Québécois 2021

En l’absence de Charles Paquet et de Kira Gupta-Balthazar, vainqueurs de la première étape à Gatineau, plusieurs athlètes pouvaient prétendre  de cette deuxième étape sur format sprint.
Les messieurs étaient les premiers à prendre le départ et c’est Oliver Desjardins, qui sortait en premier de l’eau suivit par un groupe composé d’une dizaine d’athlètes. Ce groupe reprit rapidement le jeune athlète du club Hippocampe et collabora afin de ne pas voir revenir les deux pelotons de chasse. La victoire se joua finalement à la course entre trois athlètes du Rouge et Or, Mathis Beaulieu, Filip Mainville et Léo Roy. C’est finalement le premier nommé qui réussit à prendre le meilleur sur ses compères et remporter la médaille d’or. Une performance qui lui permet de s’emparer de la tête de la Série Grand Prix après sa deuxième place de Gatineau. Il était accompagné sur le podium par Filip Mainville (57:13) et Léo Roy. Mathis Beaulieu (57:04) s’adjugea donc le titre de champion québécois junior devant Léo Roy (57:22) et Nolan Turgeon (59:22). Filip Mainville quant à lui se voyait décerner le titre de champion québécois Élite/U23 devant Zed Roy (57:34) et Nicolas Harvey (57:50).
Chez les femmes, la favorite du jour Emy Legault (1:03:53) sortait de l’eau accompagnée de Claudie Simard, Maïra Carreau et Noémie Bealieu. Sur le vélo, les quatre athlètes réussirent à conserver leur l’avance sur un deuxième peloton mené par Sévérine Bouchez. À la course à pied, c’est finalement l’athlète du club Tri-O-Lacs, Emy Legault (1:03:53), qui prit le meilleur pour s’imposer et prendre la tête du classement général de la Série Grand Prix. Noémie Beaulieu (1:04:04) se classe finalement deuxième devant Maïra Carreau (1:04:27).
L’athlète de Gatineau conserve donc son titre de championne québécoise junior devant, comme l’an passé, Maïra Carreau et Marika Couture (1:04:59). Chez les Élites/U23, Emy Legault grimpait sur la plus haute marche du podium devant Sévérine Bouchez (1:04:30) et Kamille Larocque (1:04:43).

Coupe Québec Jeunesse – Championnat Québécois U13/U15 2021

À la différence de la première étape en Outaouais, le départ de masse et le sillonnage étaient de retour pour ces championnats provinciaux. Comme à Gatineau, c’est Samantha Wood (Tri-O-Lacs) chez les femmes U15 qui l’emporte, suivie de Charlotte Fournier (Jet Triathlon) et de Béatrice Normand (Tri-O-Lacs). Chez les hommes U15, suite à la disqualification de Léandre Binette en raison d’une erreur de parcours, les honneurs reviennent à Patrick David suivi d’Alexandre Lavigne et de Léo Savoie. Chez les femmes U13, c’est Allyson Lavallé qui monte sur la plus haute marche du podium,  suivie de Danika Robert et de Catherine Chevrier. Finalement, chez les hommes U13, Zachary Mecteau, Robi Racine et Matisse Émond forment le podium de ce championnat québécois 2021.

Coupe Québec – Distance olympique

Après une 1ère étape sur distance sprint, les participants de la Coupe Québec présentée par Spark Sports Nutrition se voyaient proposer une deuxième étape sur format olympique, toujours avec un départ « rolling start » afin de respecter la distanciation. Chez les hommes, la victoire revient à l’ancien athlète de l’Équipe du Québec Gabriel Legault (2:03:44) du Rouge et Or, devant le vainqueur de la première étape, Antoine Michaud (2:04:43) et Jérémie Toutant (2:08:36). Chez les femmes, c’est l’athlète du Rouge et Or, Rachel Quirion-Arguin (2:17:22) qui réalise un rêve de longue date en soulevant la bannière pour seulement huit secondes devant Alice Cote-Allard (2:17:30) gagnante de la première étape, et Andrée-Anne Dumont (2:20:25), lauréate de la Coupe Québec 2019.

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C’est ce samedi 31 juillet sur la plage du Lac Leamy que la Série Grand Prix et la Coupe Québec reprenaient leurs droits après plus d’un an d’absence. Comme toujours à Gatineau, le comité organisateur a su se montrer à la hauteur de l’évènement et rendre une copie parfaite pour célébrer ces retours à la compétition.

Triathlon olympique

Les premiers à entrer en action par cette belle journée ensoleillée étaient les participants de l’olympique. Bien que cette année les forces de l’armée canadiennes étaient absentes (elles seront de retour pour sûr en 2022), quelques noms bien connus du triathlon québécois étaient présents pour garantir une course relevée. À commencer par le vainqueur, Jérémie Toutant (2:01:30) qui s’impose devant Philippe Reynolds (2:03:39) et Josh Bird (2:06:07). Chez les femmes, la victoire revient à Astrid Peregord (2:21:24) alors que Lisanne Guerin (2:22:06) et Jessica Huza complètent le podium (2:23:57).

Série Grand Prix

Ensuite, il était temps pour les athlètes de la Série Grand Prix de briser la glace sur un format sprint avec sillonnage. Avec la présence de plusieurs Ontariens sur la liste départ et un total de 74 athlètes, la compétition s’annonçait rude chez les hommes comme chez les femmes. Les messieurs étaient les premiers à prendre le départ et c’est Charles Paquet, favori annoncé de l’épreuve, qui sortit premier de l’eau en 9’33” suivi de près par Thomas Bilodeau. Les deux athlètes du Rouge et Or tentèrent de jouer leur carte sur le vélo mais ils étaient poursuivis par un peloton d’une dizaine d’athlètes qui les reprirent dans le dernier tour. La décision se faisait donc à la course. À la faveur d’une accélération à 2km de l’arrivée, Charles Paquet se détacha de ses poursuivants pour remporter la médaille d’or et les 500$ de bourses qui viennent récompenser cette performance. Il était accompagné sur le podium par le jeune Mathis Beaulieu et Filip Mainville. Nicolas Harvey et Léo Roy venant compléter le tir groupé du Rouge et Or en prenant respectivement les 4e et 5e place.
Chez les femmes, comme attendu, Kira Balthazar domina outrageusement la portion natation (9’48”) et entra seule en transition avec une vingtaine de secondes d’avance sur sa plus proche poursuivante, Emy Legault. Sur le vélo, l’athlète de Tri-O-Lac parvient à combler son retard et collabora avec l’ontarienne pour conserver de l’avance sur un deuxième peloton emmené par Maïra Carreau. À la course à pied, c’est finalement l’athlète du club C3 qui prit le meilleur pour s’imposer en une 1:01:10. Emy Legault (1:01:30) se classe finalement deuxième devant Maïra Carreau (1:02:10). La locale de l’étape Noémie Beaulieu prenant finalement la 4ème place devant Kamille Larocque.

Coupe Québec – Championnat Québécois distance sprint

Une fois tout ce beau monde sorti de la transition, il était temps de laisser place aux participants de la 1ère étape de la Coupe Québec 2021 de s’élancer pour ce Championnat provincial sur distance sprint. Petite nouveauté, Covid oblige, le départ était donné en « rolling start » afin de respecter la distanciation. Chez les hommes, la victoire revient à l’athlète de Bionick Triathlon, Antoine Michaud (1:01:12) qui s’impose et s’octroie du même coup le titre de champion québécois. On retrouve avec lui sur le podium Etienne Chevrier (1:02:33) du club Tri-O-Lacs et Nicholas Lambert (1:03:18). Chez les femmes, c’est l’athlète du Rouge et Or, Alice Cote-Allard (1:06:26) qui s’adjuge le titre de championne 2021 devant sa compère Maud Marel (1:07:55) et Mathilde Bernard 1:08:44

Coupe Québec Jeunesse – U13/U15

C’est aussi en “rolling start” que les athlètes U13 et U15 ont complété cette première étape de la série. Dans cette épreuve où le sillonnage était interdit. c’est Samantha Wood chez les femmes U15 qui l’emporte, suivie de Charlotte Fournier (00:35:00) et de Agathe Richard (00:36:02). Chez les hommes U15, Léandre Binette (00:31:02) remporte les honneurs, suivi de Léo Savoie (00:32:41) et de Léo Plamondon (00:32:44). Chez les femmes U13, c’est Sophie Ironside (00:38:20) qui monte sur la plus haute marche du podium,  suivie de Allyson Lavallé (00:38:53) et de Catherine Chevrier (00:39:24). Finalement, chez les hommes U13, Vincent Leduc (00:34:51), Robi Racine (00:35:23) et Matisse Émond (00:36:28) forment respectivement le top 3 de l’épreuve.

 

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Une fois n’est pas coutume, c’est bien deux premières éditions qui avaient lieu simultanément ce dimanche 25 juillet. D’un côté, un triathlon demi-longue distance au Lac William dans la municipalité de Saint-Ferdinand accueillant 113 téméraires. De l’autre, des triathlons U13, U15, découverte, sprint et olympique à St-Mathieu de Rioux avec un nombre impressionnant pour une première de 33o participants.

Triathlon du Lac William

DAN-TES-QUE ! Voici un bon résumé de la journée qui attendait les participants à ce premier triathlon du Lac William. Si la difficulté était (supposément) connue de tous, des conditions météorologiques sont venues ajouter de la difficulté à un évènement qui en comptait déjà une bonne dose. Alors que la natation était censée être la partie la plus facile au regard du dénivelé du vélo et de la course, le vent et les vagues ont très fortement complexifié les choses. Après la sortie de l’eau, il fallait se mesurer aux 1650m de dénivelé sur 90km (avec des passages à plus de 17%) qu’offrait ce parcours dans un décor somptueux, lorsque la météo offrait l’opportunité de l’admirer. En guise de dessert, un demi-marathon lui aussi vallonné avec près de 450m de dénivelé, mais avec l’apparition du soleil comme récompense.

Sur le plan sportif, Nicolas Gilbert arrivait avec le statut de grandissime favori et l’a assumé avec une performance de très haut niveau. L’ancien athlète de l’Équipe du Québec s’impose dans le temps canon de 4h17’13” devant son ancien compère de l’Équipe du Québec, Jérémie Martin (4h31’34”). Le podium est complété par Olivier Forest (4h37’271”) qui, après avoir dominé notre série de courses virtuelles, est venu confirmer les watts entrevus cet hiver. Chez les femmes, le club du Rouge et Or n’a laissé que des miettes en plaçant trois athlètes sur la boite. La victoire revient à Clara Emond (5h11’01”) devant Alice Coté-Allard (5h29’05”) et Justine Bluteau-Girard (5h29’42”).

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Triathlon Mont-St-Mathieu

Avant même le premier départ, cette première édition était une réussite avec près de 350 participants prêts à venir découvrir le magnifique parcours du triathlon Mont-St-Mathieu. Ajouté à cela la présence de Pierre Lavoie en tant que porte-parole et participant, toutes les conditions étaient réunies pour faire de cette journée une grande fête du triathlon.

La journée commençait donc dès 7h30 avec le départ de la distance olympique. Chez les homme, la victoire revient à Nicolas Masse-Savard (2h09’18”) devant Simon Barrette (2h09’44”) et Éliott Bérubé (2h10’27”). Du côté des filles, c’est Catherine Lord (2h30’07”) qui s’impose devant Ann-Sophie Czech (2h31’46”) et Pamela Poirier-Ouellet (2h36’50”).

Sur la distance sprint, Pierre Lavoie a fait honneur à son statut en s’imposant en 1h06’59” devant Samuel Lavoie (1h08’44” ), qui n’est pas son fils, et Étienne Brillant (1h09’35”). Chez les filles, nous retrouvons Jorane Bouchard (1h16’39”), Marieve Tessier-Proulx (1h17’31”) et Annie-Claude Bédard (1h18’06”) aux trois premières places.

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À l’image de son parcours pour arriver jusqu’à Tokyo, Amélie Kretz a su se dépasser et surmonter les obstacles pour prendre une incroyable 15ème place et signer la meilleure performance féminine de tous les Jeux olympiques pour une Canadienne. Flora Duffy est la nouvelle championne olympique de triathlon. L’athlète des Bermudes a remporté la médaille d’or avec un chrono de 1:55:36. Elle s’impose devant la Britannique Georgia Taylor-Brown (1:56:50) et l’américaine Katie Zaferes (1:57:03). 

Jusque dans sa course olympique, la triathlète de Sainte-Thérèse aura fait preuve d’une résilience sans pareil. Elle nous confiait ce matin : “J’avais hâte de courser, l’entraînement s’est vraiment bien passé dans les dernières semaines alors j’avais hâte de pouvoir exécuter une grosse course”. Après une natation compliquée de son propre aveu ” j’ai eu une mauvaise nage, je me suis retrouvée plus loin en vélo que j’aurais aimé. Le courant sur le côté gauche était vraiment intense, toutes les nageuses de gauche se sont fait avoir” et seulement 26e à la sortie de l’eau, Amélie Kretz s’est “battue jusqu’à la fin”. À l’attaque mais tout de même prudente à vélo sur une asphalte détrempée, elle remonta en 21ème position à la fin des huit tours à la faveur d’un excellent positionnement, très souvent bien placée dans la roue de la spécialiste Taylor Knibb. “J’ai fait ce que je pouvais en vélo pour remonter, mais les filles en avant étaient déjà parties”. Une bonne deuxième transition et la chasse pouvait commencer. Elle gagna finalement cinq place à la faveur du 8e temps sur ce 10 km (34:41). “J’avais de bonnes jambes de course aujourd’hui (hier ndrl), j’ai pu remonter quelques positions”. Elle termina finalement 15e, la meilleure performance canadienne de l’histoire des Jeux olympique. C’est une 15 place qui vaut beaucoup plus.”On veut toujours plus comme athlète, c’est sûr qu’en voyant que j’ai eu le 8e temps de course aujourd’hui je me dis que si j’avais eu la nage que je suis capable d’avoir habituellement, j’aurais pu vraiment bien faire. Mais avec le parcours des dernières années, et surtout des derniers mois, cette 15e position vaut beaucoup plus qu’une 15e place. Je tiens à remercier ma famille, mon coach Alex Sereno, mon équipe de soutien, Dominique et Stéphane et un gros merci à Triathlon Québec !”

Amélie Kretz sera de nouveau en action ce vendredi à 18h30 avec le relais mixte en compagnie de Joanna Brown, Tyler Mislawchuk et Matt Sharpe.

Leur visage vous est familier, vous les croisez pour certains chaque fin de semaine aux quatre coins du Québec et parfois même, cela depuis des années. Toujours là pour s’assurer de votre sécurité, souvent présents pour vous rappeler les consignes lors des réunions d’avant-course et parfois, à votre plus grand désespoir, aussi pour faire appliquer les règlements et mettre (très peu) des pénalités, les officiel(le)s de Triathlon Québec jouent un rôle majeur dans le déroulement des évènements. À travers cette série de portraits, nous souhaitons vous faire découvrir les femmes et les hommes derrière le sifflet. Qui sait, cela pourrait même vous donner envie de rejoindre l’équipe !

Officiel pour Triathlon Québec depuis 2010 et de niveau NTO depuis 2017, impliqué dans le monde sportif québécois depuis de nombreuses années et expert des parcours vélo, nous avons le plaisir de vous présenter Éric Prégent.

Triathlon Québec : Bonjour Éric, pour commencer, peux-tu te présenter ?

Éric Prégent : Eric Prégent, j’ai 44 ans et je suis directeur adjoint de la maintenance technique d’un hôtel de luxe. Je pratique plusieurs sports depuis plusieurs années. Je suis amateur de course à pied, vélo, ski de fond, raquette et randonnée pédestre. Une autre des mes passions est la photographie. Sinon, j’ai été impliqué dans plusieurs organisations au cours des dernières années :
– Responsable des bénévoles sur le parcours du demi marathon Scotia de Montréal.
– Directeur de course de Défi TRIOLACS et membre du CA du club de triathlon Tri-O-Lacs pendant 8 ans.
– President du Circuit Endurance.
– Membre du comité organisateur du Triathlon Valleyfield.
– Directeur du parcours vélo au triathlon Esprit Montréal.
– Entraineur de course à pied et vélo.

Triathlon Québec : On peut donc facilement dire que tu es quelqu’un de très impliqué dans le sport québécois ! Depuis combien d’années es-tu officiel pour Triathlon Québec et qu’est-ce qui t’a poussé à le devenir ?

Éric Prégent : Je suis officiel depuis 2010, je fais parti des anciens officiels au Québec. J’ai suivi ma formation d’officiel NTO en 2017. J’ai eu la chance de participer à 4 jeux du Québec, aux Jeux du Canada en 2013 à Magog, aux Championnats du monde à Edmonton et plusieurs premiers événements tels que le  triathlon Xterra au Mont Tremblant, au Ironman Tremblant ou encore au volet international du Pentathlons des neiges à Québec. J’ai eu la plaisir de parcourir le Québec en tant qu’officiel au triathlon de Gatineau au triathlon de Gaspé !

Triathlon Québec : Peux-tu nous en dire un peu plus sur ce qui t’a poussé à devenir officiel en triathlon ?

Éric Prégent : Honnêtement, c’est un pur hasard ! Je suis devenu officiel par manque d’officiels au triathlon Soulanges de Côteau-du-Lacs et j’ai suivi ma formation par la suite.

Triathlon Québec : Le hasard fait bien les choses donc ! Après toutes ces années, qu’est-ce qui te motive à être officiel chaque week-end ?

Éric Prégent : Je suis moins actif ces dernières années à cause de mon emploi mais, lorsque je l’étais plus, ma motivation était principalement les gens. Il y a une satisfaction personnelle d’aider les organisateurs de course à créer des événements équitables et sécuritaires pour les participants. Nous sommes les yeux des organisateurs avec les bénévoles.

Triathlon Québec : Quelles sont selon toi les qualités qui font un bon officiel de Triathlon Québec ?

Éric Prégent : Une des qualités qu’un officiel doit posséder est la confiance en soi car nous avons plusieurs décisions rapides à prendre durant un évènement et chaque événement est différent. Il faut donc ajouter à cela une bonne capacité d’adaptation.

Triathlon Québec : Toi qui a parcouru la belle province et ses beaux triathlons, quel est ton évènement préféré  ?

Éric Prégent : Je ne peux pas nommer un évènement en particulier car tous les évènements sont spéciaux, organisés par des gens passionnés et chaleureux.

Triathlon Québec : Peux-tu nous donner une ou plusieurs raisons de devenir officiel en triathlon ?

Éric Prégent : Devenir officiel en triathlon c’est faire partie d’une équipe formidable et faire la différence pour les participants.

Triathlon Québec : Avec tous ces évènements à ton actif, tu dois bien avoir une petite anecdote à nous partager ?

Éric Prégent : En 11 années en tant qu’officiel, les anecdotes sont nombreuses. Par exemple, j’ai eu à gérer plusieurs véhicules qui s’étaient malencontreusement retrouvés sur les parcours de vélo: camion de pompier, un dix roues qui livrait de la terre, un autobus de touristes, une limousine de nouveaux mariés, un triporteur et même des dindes sauvages !

Triathlon Québec : Je vois ce que tu voulais dire par capacité d’adaptation ! Merci Éric pour cet entretien et rendez-vous cet été sur nos beaux évènements partenaires !